Au pays des bêtes

Il ne fait pas toujours bon être un cochon dans certaines vallées de nos alpes : gare à toi porcinet, le charcutier du village t'a à l'oeil et t'attend au tournant!
De tournants, il en aura été beaucoup question ce samedi. Mon programme de "remise en forme" continue à grands coups de pédales : des épingles à la montée, des épingles à la descente.

Le Beaufortain se prete bien à ce petit jeu même si c'est à skis que je préférerais tailler la pente. Un poil plus bas en altitude, de nombreux chemins courent ici ou là, et le luxe c'est de partir de mon chalet à vélo sans s'embêter avec la voiture.

De partout ça sent le printemps, et c'est bien sympathique de descendre au millieu des prairies et des cerisiers en fleurs

Au détour d'un clôture, deux énormes chevaux de quelques centaines de kilos chacuns "gambadent" autour de moi; c'est sans doute la première fois qu'ils voient un Slayer et ils sont tout intrigués. Pas de doute, face à eux, je ne fais pas le poids. Je décampe!
Un clin d'oeil au Mt blanc que j'ai tout le temps d'admirer et qui resplendit de soleil en ce samedi matin... Bigre ça me démange!

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